Jacques Dars

Le sinologue Jacques Dars, directeur de la collection "Connaissance de l'Orient", traducteur de nombreux textes classiques dont Au bord de l'eau et ami de longue date de la librairie s'est éteint le 28 décembre 2010 à l'âge de 69 ans.
Jacques Dars s'est éteint à Annecy le 28 décembre 2010, à l'age de 69 ans.
Érudit d'exception d'une grande humilité, il était l'un des plus grands traducteurs de littérature chinoise classique. On lui doit notamment la version française de Au bord de l'eau, publiée d'emblée par Gallimard dans la "Bibliothèque de la Pléiade", puis reprise en format de poche. Chez Gallimard, il était également directeur de la collection "Connaissance de l'Orient", qui rassemble des traductions de référence des grands textes chinois, mais aussi japonais, indiens, coréens ou vietnamiens... Il y avait ainsi traduit, entre autres textes, Passe-temps d'un été à Luanyang, de Ji Yun.
Jacques Dars était aussi un ami de la librairie depuis ses débuts. Il nous rendait régulièrement visite, nous faisant partager son savoir et sa modestie. A plusieurs reprises, il était venu rencontrer ses lecteurs au Phénix.
Nous partageons la peine de sa famille et de ses amis, et leur témoignons notre sincère sympathie en cette période de deuil.
Jacques Dars s'est éteint à Annecy le 28 décembre 2010, à l'age de 69 ans.
Érudit d'exception d'une grande humilité, il était l'un des plus grands traducteurs de littérature chinoise classique. On lui doit notamment la version française de Au bord de l'eau, publiée d'emblée par Gallimard dans la "Bibliothèque de la Pléiade", puis reprise en format de poche. Chez Gallimard, il était également directeur de la collection "Connaissance de l'Orient", qui rassemble des traductions de référence des grands textes chinois, mais aussi japonais, indiens, coréens ou vietnamiens... Il y avait ainsi traduit, entre autres textes, Passe-temps d'un été à Luanyang, de Ji Yun.
Jacques Dars était aussi un ami de la librairie depuis ses débuts. Il nous rendait régulièrement visite, nous faisant partager son savoir et sa modestie. A plusieurs reprises, il était venu rencontrer ses lecteurs au Phénix.
Nous partageons la peine de sa famille et de ses amis, et leur témoignons notre sincère sympathie en cette période de deuil.