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Vie de Xuanzang : pèlerin et traducteur : biographie du maître de la loi Tripitaka résidant au monastère de la Grande Compassion sous les grands Tang

Vie de Xuanzang : pèlerin et traducteur : biographie du maître de la loi Tripitaka résidant au monastère de la Grande Compassion sous les grands Tang

Editeur(s)
Belles lettres
Date de parution : 17/11/2023

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75,00 €

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Ean : 9782251454849
Pages : 540
Hauteur : 19 cm
Largeur : 13 cm
Epaisseur : 5.5 cm
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Résumé


Récits de la vie du moine bouddhiste Xuanzang qui, en 629, est parti en Inde sur les traces du Buddha afin d'approfondir ses connaissances des textes et des diverses idées des écoles du bouddhisme. Le premier texte se concentre sur sa période de formation et son voyage, le second est consacré à son travail de traducteur et à ses relations avec les empereurs.

En 629, le moine bouddhiste Xuanzang part pour l’Inde, autant pour marcher sur les traces du Buddha que pour approfondir sa connaissance des textes et des idées développées par les diverses écoles du bouddhisme. Il revient seize ans plus tard, ayant acquis une réputation de savant incontesté, et se consacre alors à la traduction de plus de soixante-dix ouvrages du canon qu’il a rapportés, après avoir rédigé, à la demande de l’empereur, la description des pays qu’il a visités.

Son voyage, émaillé de péripéties, fournira le thème de l’un des quatre romans majeurs de la littérature chinoise, le Xiyou ji ou la Pérégrination vers l’Ouest. Parfaitement instruit dans la langue sanskrite, Xuanzang se révèle comme un maître de traduction incomparable qui ne sera pas surpassé. Plusieurs biographies de Xuanzang furent rédigées par des disciples. La plus importante, qui fait l’objet de la présente traduction, est d’abord due à Huili qui, dès la disparition du maître ou peut-être même dès son retour en Chine, se chargea de la période de formation et surtout de voyage. Plus de vingt ans après la mort de Tripiṭaka, « Trois Corbeilles » (selon le surnom que l’on donna à Xuanzang), Yancong ajouta une deuxième partie correspondant à sa vie de traducteur et aux relations qu’il entretint avec les empereurs, en se fondant sur des échanges épistolaires, requêtes, mémoires ou adresses dans le cas de Xuanzang, décrets dans le cas des souverains.