Walis Nokan 瓦歷斯·諾幹

A l'occasion de sa venue en France, le Phénix vous invite à venir emprunter "Les Sentiers des rêves" (L'Asiathèque) aux côtés de l'auteur taïwanais Walis Nokan 瓦歷斯.諾幹, appartenant à l'ethnie des Atayals (泰雅族).
Vous vous rappellerez sans doute de Walis Nokan 瓦歷斯.諾幹, pour l'avoir découvert dans le recueil collectif Taipei, histoires au coin de la rue (L'Asiathèque) ou bien dans le numéros hors-série sur Taïwan de la revue Jentayu.Il est de nouveau traduit en français avec son propre recueil de nouvelles Les Sentiers des rêves (L'Asiathèque).
Dans cet ouvrage, vous découvrirez près de deux cents textes qui oscillent entre poèmes et nouvelles. L'auteur, puisant dans ses observations, ses lectures et ses propres expériences, nous emmène dans des aventures où flirtent le réel et l'imaginaire.
Walis Nokan commence à écrire dans les années 1990. Lui-même appartenant à l'ethnie austronésienne des Ayals, il est très engagé et oeuvre pour la reconnaissance des cultures autochtones de Taiwan. N'attentez plus pour découvrir ou redécouvrir cette voix originale et importante de la littérature taïwanaise contemporaine.
Vous vous rappellerez sans doute de Walis Nokan 瓦歷斯.諾幹, pour l'avoir découvert dans le recueil collectif Taipei, histoires au coin de la rue (L'Asiathèque) ou bien dans le numéros hors-série sur Taïwan de la revue Jentayu.Il est de nouveau traduit en français avec son propre recueil de nouvelles Les Sentiers des rêves (L'Asiathèque).
Dans cet ouvrage, vous découvrirez près de deux cents textes qui oscillent entre poèmes et nouvelles. L'auteur, puisant dans ses observations, ses lectures et ses propres expériences, nous emmène dans des aventures où flirtent le réel et l'imaginaire.
Walis Nokan commence à écrire dans les années 1990. Lui-même appartenant à l'ethnie austronésienne des Ayals, il est très engagé et oeuvre pour la reconnaissance des cultures autochtones de Taiwan. N'attentez plus pour découvrir ou redécouvrir cette voix originale et importante de la littérature taïwanaise contemporaine.