GONG Ji-young 공지영

Pour un échange autour du roman "Ma très chère grande sœur" (Philippe Picquier, janvier 2018).
Le mardi 22 mai à 18h, nous aurons la joie d'accueillir l'auteure coréenne Gong Ji-young 공지영 pour un partage autour de son ouvrage Ma très chère grande-sœur (봉순이 언니) paru en janvier dernier aux éditions Philippe Picquier.
Gong Ji-young 공지영, auteure coréenne très engagée, a publié de nombreux romans, essais et livres pour la jeunesse. Encore peu connue en France, ses livres sont presque toujours des best-sellers en Corée du Sud. Un tel succès s'explique de part sa proximité avec les "laissés pour compte", les handicapés (Le creuset 도가니), les femmes, les enfants, les travailleurs, les homosexuels…
Dans Ma très chère grande soeur, elle nous propose un voyage autobiographique dans son enfance, en plein cœur du Séoul des années 60-70. Elle parle à travers la place grandissante de l'argent, les écarts économiques qui s'ouvrent entre les séoulites et les liguent les uns contre les autres. Elle évoque également les difficulté de s'en sortir des coréens restés à la campagne qui se retrouvent de plus en plus seuls...La plume de Gong Ji-young, facile et libérée vous tiendra à l'écoute durant toute la lecture et vous découvrirez sans doute un aspect de cette culture que vous ne connaissiez pas.
Le mardi 22 mai à 18h, nous aurons la joie d'accueillir l'auteure coréenne Gong Ji-young 공지영 pour un partage autour de son ouvrage Ma très chère grande-sœur (봉순이 언니) paru en janvier dernier aux éditions Philippe Picquier.
Gong Ji-young 공지영, auteure coréenne très engagée, a publié de nombreux romans, essais et livres pour la jeunesse. Encore peu connue en France, ses livres sont presque toujours des best-sellers en Corée du Sud. Un tel succès s'explique de part sa proximité avec les "laissés pour compte", les handicapés (Le creuset 도가니), les femmes, les enfants, les travailleurs, les homosexuels…
Dans Ma très chère grande soeur, elle nous propose un voyage autobiographique dans son enfance, en plein cœur du Séoul des années 60-70. Elle parle à travers la place grandissante de l'argent, les écarts économiques qui s'ouvrent entre les séoulites et les liguent les uns contre les autres. Elle évoque également les difficulté de s'en sortir des coréens restés à la campagne qui se retrouvent de plus en plus seuls...La plume de Gong Ji-young, facile et libérée vous tiendra à l'écoute durant toute la lecture et vous découvrirez sans doute un aspect de cette culture que vous ne connaissiez pas.